Non-divulgation d’une condition médicale préexistante

Les voyageurs contractent une assurance voyage principalement pour se défendre contre les frais médicaux s’ils tombaient malades durant leur séjour à l’étranger. Toutefois, la non-divulgation des conditions médicales préexistantes lors de la souscription d’une police peut annuler les demandes de remboursement des frais médicaux. Le mieux serait de répondre à toutes les questions de manière approfondie et honnête lors d’un entretient avec l’assureur. Cela vous assurera d’une couverture appropriée à vos cas.

Défaut d’agir dans le délai accordé

Il est important d’agir dans les délais impartis, car des retards peuvent engendrer l’annulation des réclamations. En général, les clients qui tombent malades à l’étranger doivent obtenir l’autorisation préalable de leur assureur avant d’engager des dépenses supérieures à une somme convenue dans le contrat d’assurance, sauf en cas d’urgence. Par la suite, après votre retour, il est important d’informer la compagnie d’assurance dans un délai fixé dans le contrat. Le particulier doit fournir, dans la majorité des cas, un formulaire de réclamation, ainsi que des documents attestant son accident et les frais relatifs à celui-ci. Si votre réclamation concerne une condition médicale, elle doit être accompagnée d’un document d’un médecin agréé détaillant la maladie ou la blessure et le traitement.

Pratique d’activités non-couvertes

Les polices d’assurance voyage varient en fonction du niveau de couverture alloué pour les activités d’aventure et sportives. Souvent les assureurs fournissent une liste indiquant ce qui est inclus et exclu dans la police. Si une réclamation concerne une blessure subie en pratiquant un sport exclu, elle est automatiquement refusée.

Tour d’horizon des prix des soins de santé à l’étranger

En ce qui concerne les frais de santé, ce sont surtout les États-Unis qui détiennent les palmarès. Une consultation équivaut à 100 dollars minimum. Si vous êtes hospitalisé, les frais de santé pourront grimper jusqu’à des dizaines de milliers de dollars, surtout si votre état de santé exige une opération chirurgicale. Les médicaments y sont également très onéreux. En Australie, le frais de consultation chez un médecin généraliste varie entre 50 et 60 dollars australiens. Si vous devez consulter un spécialiste, vous devez débourser environ 180 dollars australiens. Les prix peuvent augmenter jusqu’à quatre fois plus en cas d’hospitalisation.

Qu’est-il des qualités des soins à l’étranger ?

Pour passer un séjour beaucoup plus serein, vous devez vous préoccuper de la qualité des soins dans votre pays de destination. Si vous séjournez dans un pays développé, vous pouvez vous prétendre à des soins de qualité. Cependant, ce n’est pas toujours le cas pour toutes les destinations du monde. Dans certaines régions d’Asie, vous pouvez profiter d’une infrastructure sanitaire assez correcte. Par contre si vous vous aventurez dans une destination moins touristique ou moins développée, vous devez avoir un contrat d’assurance en béton, car les soins ne sont pas toujours à la hauteur de ce que vous pourrez espérer.
Quelques hôpitaux des métropoles d’Afrique proposent des soins plus corrects, comme c’est le cas en Afrique du Sud, en Tunisie ou en Egypte. Dans l’Afrique subsaharienne, les personnels de santé n’ont reçu que très peu de formations médicales, les infrastructures sont parfois dans un état assez lamentable et la plupart des équipements sont hors service ou désuet. Il en est de même pour l’Amérique latine, sauf pour certains pays comme l’Argentine, le Mexique, le Cuba, la Colombie, le Panama et le Brésil.

Comment profiter d’un séjour plus serein à l’étranger ?

Quelle que soit la destination que vous avez choisie, si vous avez envie de profiter d’un séjour plus serein, pensez à souscrire à une assurance voyage avec des garanties assistance rapatriement et soins médicaux. Ainsi, vous pourrez bénéficier d’un remboursement de vos frais de santé, surtout si l’on a besoin de vous hospitaliser. Cette couverture vous permet de voyager sereinement et d’avoir l’assurance de bénéficier une prise en charge en cas de problème de santé. Vous ne serez pas contraint de sortir de votre poche les frais de rapatriement si cela arrive. La compagnie d’assurance prendra en charge de toutes les démarches à nécessaires nécessaires à votre évacuation.

Quelle assurance pour la moto ?

Que faut-il choisir comme assurance pour la moto ? D’abord, une assurance Responsabilité civile. Celle-ci couvre les dommages physiques ou matériels que l’on pourrait causer. Puis, l’assurance Vols et Dommages qui consiste en une garantie contre le vol de l’engin et contre tout dommage qui pourrait lui être causé par des inconnus. Le plus souvent, cette garantie est assortie d’une franchise. Dans certains cas ou plutôt dans certaines destinations, il faut d’autres assurances. Par exemple, si vous partez pour le Maroc, on a intérêt à détenir une assurance véhicule en cours de validité, ce qu’il faut vérifier avant le départ. Mais si on roule à moto au Pérou, au Chili ou en Argentine par exemple, se souvenir que cette assurance véhicule ne couvre plus. C’est la Responsabilité civile pour la moto qui court toujours, de même que l’assurance Vols et Dommages, souvent accompagnée d’une franchise.

Que comporte l’assurance voyage moto ?

L’assurance voyage moto comporte plusieurs volets dont le premier est l’assistance rapatriement. Dans cette garantie, la prise en charge en cas de maladies ou d’hospitalisation est comprise, ainsi que le rapatriement en cas de maladie impossible à soigner sur place, en cas d’accident grave qui nécessite une évacuation dans un pays proche ou en France. La moto n’est pas exempte de risques, aussi cette assurance est d’une grande importance. Puis, l’assurance annulation dont le montant est calculé sur la base du nombre de jours entre la date d’annulation et de départ prévu. Et pour que cette garantit soit effective, la souscription doit avoir été faite avant la date d’annulation. Ensuite, la garantie Interruption de séjour. Si, en raison d’un rapatriement, on doit interrompre le séjour, alors, on bénéficie du remboursement partiel ou total des prestations non encore consommées. Ou bien, celles-ci pourraient être constituées comme un avoir pour un prochain voyage.